Dans une tribune parue dans Le Monde, un collectif de personnes engagées (dont l’équipe et des fellows du département HEALTH de l’Institut Convergences Migrations), alerte sur la précarité des femmes enceintes sans-papiers ou accompagnées de jeunes enfants vivant dans la rue. Le journal Madmoizelle a repris la tribune.
Le collectif s’adresse au gouvernement afin de « faire appliquer la loi et de faire en sorte que soit assuré l’hébergement social systématique des femmes enceintes sans papiers et de leurs bébés » car « la mise à l’abri des personnes vulnérables est inscrite dans la loi. », et dénonce que « trop souvent, les hébergements [sont] accordés à la nuitée et au compte-gouttes. »
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