“La double peine du confinement dans l’enfermement, la précarité et l’abandon politique rendent les populations encampées plus fragiles”, tribune de Michel Agier dans Libération, 21 avr. 2020

La période de confi­ne­ment que nous traver­sons pour­rait nous donner une idée de ce que vivent les popu­la­tions qui passent leur vie quoti­dienne dans les camps. Michel Agier s’in­quiète pour une diffé­ren­cia­tion sur le plan social, sani­taire et en termes de droits humains subie par des personnes encam­pées, aggravée par la géné­ra­li­sa­tion des dispo­si­tifs de l’enfermement.