« Migrants : un droit au travail fondamental snobé par la France » par Antoine Pécoud, The Conversation, 17 déc. 2019

Qui se souvient que le 18 décembre est la journée inter­na­tio­nale des migrants, instaurée par les Nations unies en 2001 ?

Elle fait écho à la Conven­tion inter­na­tio­nale sur la protec­tion des droits de tous les travailleurs migrants et des membres de leur famille, une conven­tion rati­fiée par 55 pays, dont ne fait pas partie la France. Une situa­tion régu­liè­re­ment dénoncée par les mili­tants des droits de l’Homme.

Dans un contexte où, pour reprendre les termes du Haut-Commis­sa­riat aux droits de l’Homme, « les droits des migrants en transit, aux fron­tières inter­na­tio­nales et dans les pays où ils se déplacent sont systé­ma­ti­que­ment bafoués », cette journée fait écho avec les débats autour du rôle essen­tiel du travail dans les dyna­miques migra­toires. Une ques­tion souvent passée sous silence au profit des seuls enjeux sécu­ri­taires ou humanitaires.

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