La migration illégale est souvent décrite comme un vaste tissu de réseaux perçus comme insaisissables. Dans un tel contexte, l’espace devient le lieu privilégié d’organisations réticulaires. Cet article met en lumière l’expérience migratoire illégale en France à partir du cas des migrants clandestins algériens. D’une part, il met en évidence la dimension éthique de l’espace fondée sur l’appropriation d’un territoire et l’identification à ce dernier. D’autre part, il tente de saisir les enjeux éthiques autour de la question de l’entre-soi communautaire.
Page de référence : https://www.uqar.ca/uqar/recherche/unites_de_recherche/ethos/ethica/vol23no1/rsum_rim_otmani.pdf